Thomas & Piron et le «New Way of Living»
Aujourd’hui, toute personne intéressée par l’achat ou la construction d’un bien immobilier neuf est confrontée à la même problématique: des terrains à bâtir de plus en plus rares, des normes énergétiques de plus en plus strictes et donc des espaces de vie de plus en plus réduits où chaque espace doit être rationalisé. Nous sommes donc amenés à vivre et à concevoir les projets de construction autrement. Ce qui explique l’intitulé de l’une des thématiques que le salon Batibouw met à l’honneur pour sa 60e édition: «The New Way of Living».
Vers une mutualisation de l’espace
Aujourd’hui, ce «new way of living» implique la construction de logements, tels des cocons où l’on se sent réellement bien et où toutes les contraintes sont exclues de l’habitation. Thomas & Piron s’est adapté et propose de plus en plus pour ses constructions des solutions communes, que ce soit sur le terrain de ses clients ou au sein d’un quartier développé par le promoteur-constructeur. Les espaces verts et les zones de parking, par exemple, sont de plus en plus centralisés à proximité afin de répartir les coûts et garder exclusivement le confort et l’intimité du chacun chez soi.»
Même si cette nouvelle tendance ne plaît pas encore à tout le monde, elle présente néanmoins bon nombre d’avantages: un logement plus petit est plus facile à chauffer, nécessite moins d’entretien, consomme moins d’énergie et est, bien sûr, moins cher.
A chaque région son «New Way of Living»
Thomas & Piron constate que les citadins sont davantage prêts à franchir le pas d’un logement au sein d’un quartier proposant des espaces de cohabitation. A l’inverse, les personnes ayant l’habitude de la campagne sont plus réticents à l’idée d’intégrer un logement 2, voire 3 façades.
«En Wallonie, la plupart des clients rêvent encore d’une maison 4 façades, mais nous n’avons pas d’autre choix que de présenter des biens 2 et 3 façades car nous devons respecter des normes énergétiques et des restrictions en termes de densité de population qui nous sont imposées au niveau régional. Les nouvelles normes énergétiques, notamment, coûtent cher et impactent inévitablement le portefeuille des clients», explique Virginie Maury, manager des Ventes chez Thomas & Piron. Conséquence: s’il y a 10 ou 15 ans, la surface moyenne d’une maison au sol était de 100 m², elle est aujourd’hui d’environ 70 m².
Palais 8, stand 328