Norbord poursuit ses efforts contre les nuisances olfactives

L’utilisation d’un pourcentage de bois dur à faible teneur en terpène contribue à réduire les émissions d’odeurs. Et depuis l’introduction de son plan de gestion des odeurs en 2011, Norbord est passé de 5% d’utilisation du bois pauvre en terpène à plus de 40% cette année.

En outre, un investissement de 4,5 millions a été approuvé afin de construire une installation pouvant traiter le bois alternatif. Par «bois alternatif», on entend les bois «épais» et «tordus» qui, en raison de leur forme, ne pouvaient jusqu'à présent être utilisés dans le processus de production.

Des tests sont également réalisés afin de mieux comprendre le comportement des émissions de différents types de bois afin de créer un mélange pouvant avoir un effet positif sur les émissions. Ces tests sont menés en collaboration avec la UCCL (Katholieke Universiteit Leuven/Limburg) et sous la coordination d’un expert de la Région flamande.