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Veolia lance une offre intégrée pour garantir la qualité de l’air intérieur

Le 5 juin 2019, à l’occasion de la Journée mondiale de l’Environnement placée cette année sous le signe de la lutte contre la pollution de l’air, une grande enquête réalisée par Elabe pour Veolia révélait que les Belges évaluent mal le risque sanitaire lié aux pollutions intérieures.

Veolia

Diverses études ont démontré que l’état de santé des citoyens est fortement impacté par la qualité de l’air respiré à l’intérieur de leur domicile et de leur bureau, dans les transports et dans les bâtiments ouverts au public. Pour autant, il ressort de l’enquête Elabe que la plupart des Belges évaluent mal le risque sanitaire, notamment dans les lieux privés: 6 Belges sur 10 ne savent pas qu’ils sont davantage exposés à la pollution de l’air à l’intérieur qu’à l’extérieur. Et 46% d’entre eux ne se doutent pas des sources possibles de cette pollution ou de leur impact potentiel, comme par exemple les désodorisants d’intérieur, les produits ménagers, les peintures ou encore les revêtements pour les murs et les sols.

Quand respirer peut être mortel

Alors que l’être humain boit en moyenne 2 litres d’eau par jour, il respire au repos près de 15.000 litres d’air, soit près de 8 litres par minute et jusqu’à 200 litres lorsque la respiration s'accélère lors d'un effort; une activité vitale, mais loin d’être innocente alors que l’air intérieur peut être jusqu’à 8 fois plus pollué que l’air extérieur, selon l’Organisation mondiale de la Santé. Ainsi, au cours de sa vie, un humain de 80 ans aura respiré plus de 350 millions de litres d’air d’une propreté douteuse…
L’OMS estime que l’air de 30% de bâtiments neufs ou rénovés est malsain et que la pollution intérieure est le 4e plus gros facteur de risque de mortalité dans le monde: 4,2 millions de décès prématurés sont attribués à la pollution de l’air extérieur et 3,8 millions à l’air à l’intérieur des bâtiments. Quand on sait que l’on passe en moyenne plus de 85% de notre temps dans des endroits clos, respirer un air de qualité est un enjeu de santé publique mais aussi de productivité.

Une offre sur mesure adaptée à chaque typologie de clients

«Conscient que la réponse à ce défi sanitaire et de sensibilisation passe par l’ensemble des acteurs, notamment des entreprises gestionnaires des systèmes d’aération et de chauffage des bâtiments, Veolia a, au même titre que de considérer l’accès à l’eau potable comme levier essentiel de santé publique et de qualité de vie, décidé d’engager son expertise et ses solutions pour une meilleure qualité de l’air intérieur» souligne Nicolas Germond, Ceo de Veolia Belgique et Luxembourg, «Ainsi, tant en Belgique qu’au Luxembourg, nous avons décidé de créer un pôle de compétence AIR qui assistera nos clients industriels et leur proposera des solutions sur mesure adaptées à leurs besoins pour qu’ils puissent répondre, de manière optimale, aux attentes de leurs collaborateurs et de toutes personnes se rendant dans leurs bâtiments.»
Cette nouvelle offre s’adapte à chaque typologie de clients (bureaux, établissements scolaires et médicaux, centres commerciaux, hôtels, …) afin de prendre en compte leurs besoins et attentes spécifiques.
C’est sa filiale Ofis qui développera cette nouvelle offre chez les clients de Veolia BeLux.

Présent sur les cinq continents avec plus de 171.000 salariés, le groupe Veolia conçoit et déploie des solutions pour la gestion de l’eau, des déchets et de l’énergie. Coté à la Bourse de Paris, Veolia a réalisé en 2018 un chiffre d’affaires consolidé de 25,9 milliards d’euros.

 

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