Unifamiliale atypique à Londres
Construire une nouvelle maison à Londres n’est pas une sinécure. L’espace y est exigu et les réglementations multiples. Cela n’a pas découragé Joe Stuart, ingénieur, de construire sa propre maison sur une parcelle de 9,5 x 4 m dans l’Est de Londres. Il s’agissait de surcroît d’une maison à ossature bois avec des panneaux structurellement isolés. Il s’agit aussi de la plus petite maison de deux chambres autorisée à Londres.
Les prérequis étaient nombreux: sécurité (incendie notamment), durabilité, esthétique et une sensation de lumière et d’espace. Le tout assorti d’une bonne résistance au vent, à l’eau et aux UV, d’une excellente étanchéité à l’air et d’une bonne stabilité thermique.
Pour y parvenir, le concepteur a eu recours aux membranes et aux bandes de Tyvek® de DuPont, soit du Tyvek® UV Façade, une membrane respirante entièrement noire. Elle offre une plus grande liberté conceptuelle lors de l’installation derrière les façades avec joint ouvert et une bonne combinaison avec le revêtement de façade Cedar.
Les concepteurs ont utilisé diverses membranes Tyvek® de DuPont.
Une construction neuve pour 290.000€
Pour la protection de la structure à ossature bois et les panneaux structurellement isolés, on a utilisé la FireCurb Housewrap, une membrane respirante qui a une action retardatrice des flammes. Pour une étanchéité à l’air optimale, le choix s’est porté sur la Tyvek® FlexWrap NF, une bande d’étanchéité pour colmater en profondeur les joints et ouvertures, y compris les fenêtres réalisées sur mesure. Le système a été complété ici par la sous-couche Supro.
Cette construction neuve a finalement coûté quelque 290.000 euros. De quoi échapper au fameux «rent trap» (piège de la location) par lequel les jeunes Londoniens locataires paient davantage en loyer que les propriétaires qui remboursent un emprunt hypothécaire.